Les vacances à Canet, c'est plutôt cool, surtout quand le soleil est là!

Boulou dort bien 12 heures par nuit et fait des siestes  à rallonge, ce qui nous oblige à nous reposer aussi (et à freiner les ardeurs des papis qui veulent faire plein de trucs...).
Il profite le p'tit et prend le temps de vivre, de manger (qu'est-ce qu'il engouffre...).




Hier matin petite marche jusqu'à l'Hérault pour se remettre en jambe et goûter les cailloux (pas très bon...), rencontre avec les locaux ("Qu'il est gracieux cet enfant! Heing?") et déjeuner avec Mamie.


Après la sieste, promenade à la Ramasse (au dessus de Nébian - pour ceux que ça intéresse), parmi les genêts en fleurs et sur les épaules de Papi.





Petite photo familiale (Simon est en train de me tirer les cheveux...trop content le Boulou!) et retour rapide car l'heure du cours de flamenco était largement dépassée pour Joséphine et que dans la famille, on croit toujours qu'on va trouver un p'tit chemin qui va nous permettre de faire le tour et de ne pas revenir sur nos pas...

Ca y est, on est chez Mamie et Papi's Boulou!

Hier fut une grande journée de voyage. En oubliant la dernière heure, où Boulou, comme moi d'ailleurs, on en avait ras le bol de la voiture, le voyage s'est très bien passé...


On a pris le temps (10 heures)... de découvrir les aires d'autoroute.


Simon, il adore ça, il a pu faire des sourires à tout le monde dans les cafétéria, essayer les chaises hautes de toutes les couleurs et les aires de jeux à côté de la station esso... Que du bonheur!

On est quand même bien contents d'être arrivés.

Après avoir récupéré Boulou chez la nounou hier, on est resté un peu dans le jardin. Simon a joué avec le jouet que la Tchoup' lui a prêté Dimanche (c'est cool d'avoir une amoureuse un peu plus grande), avec l'herbe aussi (il faut dire que notre pelouse est très haute! Je ne sais pas ce que Louis le jardinier bricole...) et on a bien rigolé.


Le problème quand on est cool comme ça dans son jardin, allongé, en train de machouiller Sophie la Girafe, c'est qu'on se fait toujours attaquer par une main géante venue d'on ne sait où...